J’aime les ‘underdogs’

J’aime les "underdogs"… 

Les gens bizarres, les moutons noirs, les vilains canards, les cygnes noirs, les rescapés, les "wallflowers"…  

J’aime les marginaux, les francs-tireurs, les électrons libres, les inclassables, les esprits rebelles, les indomptables, les invisibles, les têtes dures, les cœurs sauvages…. 

Les rêveurs impénitents, les trop sensibles, les trop intenses… 

Ceux qui détonnent. 

Ceux qui refusent de suivre les chemins tracés. 

Ceux qui ne rentrent pas dans les cases, qui dérangent parfois, qui avancent à contre-courant. 

Ceux qui surprennes en réussissant contre toute attente 

Pas parce qu’ils cherchent à être différents, mais parce qu’ils sont incapables de faire semblant.  

Parce que leur parcours est marqué par des détours, des essais, des erreurs, de recommencements.  

Parce qu’ils ont appris à naviguer dans un monde qui ne leur a pas toujours fait de place. 

Parce qu’ils ont appris à tenir debout dans un monde qui les a souvent fait trébucher. 

Ce sont souvent eux qui réinventent, qui questionnent, qui bousculent les évidences, qui osent voir au-delà de ce qui est admis.  

Parce qu’en ne rentrant dans aucun moule, ils finissent par façonner le leur. 

Si vous avez déjà eu l’impression d’être de trop, d’être « trop » ou « pas assez », d’être à contretemps, de ne pas entrer dans le cadre, de déranger par votre singularité… sachez que ce n’est pas un défaut.  

C’est une force qui, bien dirigée, peut devenir votre plus grand atout. 

Fervemment,

Alessandra