"Aimer Travailler" versus "Aimer son travail"

Dec 01, 2023

Le travail est parfois considéré comme un mal nécessaire, quasiment une pénitence, quelque chose que nous devons faire qui nous permet de faire autre chose de plus intéressant, plus satisfaisant, plus amusant.

J'ai un point de vue différent.

Le travail ne se limite pas à un emploi. Il va bien au-delà, englobant chaque activité de valeur à laquelle nous contribuons.

Notre métier est une facette de ce vaste éventail, mais diriger une entreprise, gérer une équipe ou simplement apprendre sont également des formes de travail.

Il est important de faire la distinction entre "aimer son travail" et "aimer travailler".

"J'aime mon travail" fait référence à l'affection que l'on porte à l'activité exercée, aux tâches accomplies et aux responsabilités assumées au sein de notre poste.

Mais "j'aime travailler" va au-delà.

"J’aime travailler" c'est une passion pour l'effort, l'enthousiasme à relever des défis, l'engouement à apprendre continuellement, l'aspiration à se surpasser quotidiennement et la quête de sens dans notre contribution.

Aimer travailler signifie trouver de la satisfaction dans le processus même du travail, indépendamment du rôle ou des circonstances spécifiques.

C'est cultiver un état d’esprit d’apprentissage constant et s’emparer de l'opportunité de grandir à travers chaque expérience.

Où chaque expérience, qu'elle soit professionnelle ou personnelle, nous offre des leçons précieuses et où chaque aspect de notre vie professionnelle est une occasion d'évoluer, nous permet de grandir en tant qu'individus et professionnels.

Quand on aime travailler, on est absorbé par ce qu’on entreprend, et le travail devient une passion qui nous transcende.

Je vous souhaite de retrouver (ou nourrir!) votre goût du travail.

Où chaque défi devient une opportunité d'apprendre et de grandir.

Où chaque moment investi a du sens et contribue à votre plein épanouissement.
… au-delà de votre description de tâches.

J’ai un amour sincère pour le travail…

… et j’aimerais qu’il retrouve ses notes de noblesse.

Fervemment,

Alessandra